L’interview de Dieudonné après la publication de sa lettre de pardon

Chers lecteurs du magazine et telespectateurs de la chaine
J’ai publié il y a quelques semaines la lettre de Dieudonné dans laquelle il demandait, simplement, pardon à tous ceux qu’il avait blessés et insultés, et en particulier au peuple juif. J’avais précisé et je précise toujours que je laissais chacun juge de cette lettre et de la conduite à tenir vis à vis de cette demande. Quant à moi, qui avais été en plus, insulté personnellement, non seulement en tant que juif et israélien mais aussi en tant que directeur d’un magazine franco-israélien qui le combattait fermement, je n’ai pas pardonné, mais j’ai décidé de parler, de dialoguer avec Dieudonné d’écouter. Je pense un peu le connaitre et ce n’est absolument pas le même homme qu’il y a dix ou douze ans que j’ai trouvé en face de moi lors de l’interview mais aussi quand nous avons échangé plusieurs fois au téléphone. Les réactions d’une partie de la communauté juive ont été extrêmes, parfois hystériques quand une autre partie approuvait cette main tendue, tendue certes mais pas irréfléchie. N’ayant de comptes à rendre à personne si ce n’est à Celui qui, possède, lui, les prérogatives de pardonner ou pas, je continuerais mon action et je suivrais, comme je l’ai dit lors de l’émission de TMPP, le menteur jusqu’à la porte.
Je n’ai d’autant moins de comptes à rendre que cette partie de la communauté juive qui a hurlé avec les loups s’est corrompue avec les du peuple juif en, entre autres, s’inclinant plus souvent qu’à son tour devant la tombe d’Arafat ou recevant à Paris en grandes le multi-négationniste et archi-terroriste Abou Mazen.

Il y a un temps pour chercher et un temps pour perdre, un temps pour conserver et un temps pour jeter, un temps pour déchirer et un temps pour coudre, un temps pour garder le silence et un temps pour parler, un temps pour aimer et un temps pour haïr, un temps de guerre et un temps de paix.

L’Ecclésiaste – Chapitre 1 – קוֹהֶלֶת Paroles de Kohélet, fils de David, roi à Jérusalem.