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ANDRE DARMON

Ecrivain & Journaliste

Ma biographie

Je suis un enfant du baby-boom. Je crois que le jour où je suis né, (à Paris) Staline est mort. J’ai ainsi grandi dans la banlieue parisienne, à Bobigny, dans l’ombre d’un cerisier qui m’a caché longtemps les rails des chemins de fer qui menaient à Drancy. Jeunesse studieuse et mouvementée entre l’Alliance et Maimonide, scandée toutefois par un don tombé du ciel, le football. Puis a 17 ans, départ vers Israël et le Lycée français ou je deviendrais le rédac-chef du journal du lycée, mais aussi vers le Betar Jérusalem et un premier roman, jamais édité. Tsahal m’attend au tournant mais, mon bac en poche mon père aussi m’attend à Paris, malade. Pas de Tsahal, pas de père non plus, lui qui décide de nous laisser seuls, définitivement, ironie du sort, en pleine guerre de Kippour, mais à Paris. Plus de football, non plus car plus d’envie alors que je joue avec des footballeurs qui eux-mêmes joueront plus tard avec Pelé. Désespoir. Il me faudra abandonner mes études de droit pour subvenir aux besoins de la famille. Puis je rencontre Shirley, c’est à nouveau le bonheur, nous nous marions et je reprends mes études cette fois-ci de marketing et de gestion des Affaires moi qui rêvait de Sciences po et d’école de journalisme. Les études achevées me projettent vite dans le business , dans le commerce, et je deviens non seulement gérant de plusieurs affaires mais administrateur de groupements d’achats parisiens. Mais l’appel d’Israël est trop fort et en 1989 je repars en Israël avec toute ma famille qui a bien grandi. Laurent , Benjamin, Raphael, Samuel ont suivi Jérôme et Igal que nous ne connaissons pas encore est dans le ventre de sa maman. 

En Israël, c’est décidé, je veux tourner le dos aux Affaires et matérialiser ma passion, l’écriture. Et je vais initier ce que tout le monde prendra pour une folie, le journalisme francophone, sans oublier de prendre la présidence de l’Unifan, la plus grande association de la communauté française en Israël. Afin de tenter modestement d’aider cette communauté. Igal nait, puis cadeau ultime en 1993, une fille, après six garçons, Anael. Autres naissances : C’est le Lien, puis Israël Magazine, ‘Ashdod aujourd’hui’, ‘Le Guide de l’Alya’, qui vont naitre et fleurir. Alors Israël Magazine s’envole, le sort nous coupe les ailes. Raphaël nous quitte. Ma vie, notre vie, s’est arrêtée le 4 novembre 2006.

Ma famille

Ma famille, mes enfants, mes petits enfants
Je n’ai pas connu mes grands-pères, trop vite disparus, parfois même avant ma naissance et j’ai eu à peine le temps de croiser le chemin de mon papa; aussi lorsque je suis devenu père, je me souviens, tellement heureux, de m’être caché dans l’armoire de la chambre de l’hôpital ou avait accouché Shirley, afin de ne pas m’éloigner de mon fils Jérôme qui venait de naître. Oui, lorsque je suis devenu père, j’ai eu le sentiment de recevoir le plus beau cadeau du monde. Un enfant. Et depuis plus de 40 ans, je tente de ne jamais m’éloigner, sans jouer au papa ou au grand-papa poule. La disparition tragique de mon fils Raphaël en 2006 (link du film) m’a montré que l’on n’y arrivait pas tout le temps. Il y a des personnes qui attendent impatiemment Pessah ou Roch Hachana, mais moi, pour ma part, j’attends avec ferveur Hanoucca chaque année pour réunir mes enfants et mes petits-enfants autour de cadeaux. Autour du bonheur.

Mes editos

Voici les éditoriaux écrits depuis 25 ans sur Israël Magazine.
J’ai en permanence tenté de peaufiner ces éditoriaux, de les couver pendant tout un mois, puis de les construire, et je les ai voulus toujours aussi pertinents qu’impertinents. Je les ais toujours voulus honnêtes, mais comme aurait pu le dire Coluche ils ne sont l’expression que de mon intelligence, donc forcements limités, réducteurs. Les plus grands compliments reçus viennent de lecteurs qui m’ont avoué qu’ils achetaient Israël Magazine d’abord et avant tout pour cet éditorial mensuel. Ce sont des éditoriaux que j’ai toujours conçus comme des chansons avec des couplets et des refrains et parfois même comme des solos de guitare où l’on laisse jaillir et exploser l’imagination et la déraison. Aussi parfois la réalité vous rattrape. Et vous donne raison. Comme c’est la folie qui guide le monde, il me fallait des éditos un peu fous pour tenter de le prévoir.

MES VIDEOS

Ma famille, mes enfants, mes petits enfants
Je n’ai pas connu mes grands-pères, trop vite disparus, parfois même avant ma naissance et j’ai eu à peine le temps de croiser le chemin de mon papa; aussi lorsque je suis devenu père, je me souviens, tellement heureux, de m’être caché dans l’armoire de la chambre de l’hôpital ou avait accouché Shirley, afin de ne pas m’éloigner de mon fils Jérôme qui venait de naître. Oui, lorsque je suis devenu père, j’ai eu le sentiment de recevoir le plus beau cadeau du monde. Un enfant. Et depuis plus de 40 ans, je tente de ne jamais m’éloigner, sans jouer au papa ou au grand-papa poule. La disparition tragique de mon fils Raphaël en 2006 (link du film) m’a montré que l’on n’y arrivait pas tout le temps. Il y a des personnes qui attendent impatiemment Pessah ou Roch Hachana, mais moi, pour ma part, j’attends avec ferveur Hanoucca chaque année pour réunir mes enfants et mes petits-enfants autour de cadeaux. Autour du bonheur.

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